Quand il a fait beau, je suis remonté sur le toit. Pas de fuite constatée, et l'eau s'est bien évacuée par la gouttière.
J'ai replié la bâche à moitié pour y mettre une couche de bitume comme préconisé par aquaplan. J'ai fait ça le matin, et il fallait attendre 3h de séchage. Je pensais faire l'autre partie ensuite.
Mais l'après-midi, le soleil ayant chauffé la bâche, le bitume, ce fut la galère : le toit était brûlant. AU début, j'ai eu la bonen idée de marcher en chaussette pour éviter d'abîmer la bâche. Erreur ! Je me suis cramé les pieds. J'ai remis mes chaussures. Même les genous ont pris un coup. Impossible de tenir à genou, pour replier la bâche et poser les lignes de colles.
Et l'odeur ... : bitume+ caoutchouc+ silicon .... J'ai fini par un mal de tête que j'ai gardé toute la nuit.
Après cette expérience, j'ai abandonné le bitumage de l'autre coté. J'ai juste collé la bâche directement sur l'OSB. Je n'ai pas vu l'intêret du bitume sur l'OSB. Il est sensé piéger les poussières : surement très utile sur une chape béton ou moitier. Mais j'ai bien poncé l'OSB et dépoussiéré.
Si c'était à refaire, je poserais la bâche, sans bitume, et de la colle uniquement sur l'acrotère.
La bâche est lourde, et il n'y a aucune prise au vent, dessous, et sur les cotés. D'ailleurs, il y a eu pas mal de vent et rien n'a bougé. Bien-sur, il faut prévoir en cas de tempête : il suffit de la lester avec des gravillons ou un substrat végétalisé.
J'apprend sur le tas, petit à petit .... J'essaye de tout faire seul en minimisant la manutention à cause de problèmes réguliers au dos. C'est surement pas parfait, je prend mon temps et cela ferait rire un professionnel mais le but est surtout d'économiser sur la main d'oeuvre en me faisant plaisir.
samedi 26 mai 2012
Pose de l'évacuation
La bâche posée, il faut absolument y mettre l'évacuation, sinon je vais remplir mon toit à la première pluie.
J'ai deux gouttières prévues, achetées chez Leroy-Merlin. J'en mets une pour le moment.
Il faut percer la bâche et coller avec le mastic-colle (aquaplan.com).
J'ai deux gouttières prévues, achetées chez Leroy-Merlin. J'en mets une pour le moment.
Il faut percer la bâche et coller avec le mastic-colle (aquaplan.com).
J'ai mis un sert-joint pour maintenir l'ensemble à l'acrotêre.
Pose de l'EPDM
Après des jours de pluies, j'ai pu poser l'EPDM. Je pensais au départ bacher avc une bache de jardin, mais autant y mettre l'EPDM, sans la coller.
J'ai acheté 20m2 chez Leroy-merlin. Ils m'ont fourni avec un enduit goudron, 20 cartouches de mastic-colle noir, les profilés de finitions alus à poser sur l'acrotère : 600 euros environ.
J'ai opté pour la pose directe sur l'OSB. On verra pour l'isolation par l'intérieur même si cela ne se fait pas, pour des raisons de condensations. Mais j'ai vu qu'il y avait une technique "sandwich", d'isolant polystyrene extrudé entre deux cocueh OSB. Donc je ne vois pas pourquoi je ne pourrais pas coller du polystyrène entre les solives, puis finir le plafond en OSB, toujours entre solive.
Le plus difficile fut de monter la bâche en haut. On a été trois pour le faire. C'est lourd et surtout, ça ne glisse pas.
J'ai déroulé la bâche, et monté un des 2 bouts en haut. Ma fille montée à mi-échelle, ma femme en bas soutenait le paquet. Moi d'en haut, je tirais et petit à petit le tout est arrivé sur le toit.
J'ai déroulé l'ensemble, sans trop de difficulté.
C'est provisoire, car je dois passer une couche de bitume dessous et la coller. Mais il doit pleuvoir ces jours-ci. Alors je verrai après.
J'ai acheté 20m2 chez Leroy-merlin. Ils m'ont fourni avec un enduit goudron, 20 cartouches de mastic-colle noir, les profilés de finitions alus à poser sur l'acrotère : 600 euros environ.
J'ai opté pour la pose directe sur l'OSB. On verra pour l'isolation par l'intérieur même si cela ne se fait pas, pour des raisons de condensations. Mais j'ai vu qu'il y avait une technique "sandwich", d'isolant polystyrene extrudé entre deux cocueh OSB. Donc je ne vois pas pourquoi je ne pourrais pas coller du polystyrène entre les solives, puis finir le plafond en OSB, toujours entre solive.
Le plus difficile fut de monter la bâche en haut. On a été trois pour le faire. C'est lourd et surtout, ça ne glisse pas.
J'ai déroulé la bâche, et monté un des 2 bouts en haut. Ma fille montée à mi-échelle, ma femme en bas soutenait le paquet. Moi d'en haut, je tirais et petit à petit le tout est arrivé sur le toit.
J'ai déroulé l'ensemble, sans trop de difficulté.
C'est provisoire, car je dois passer une couche de bitume dessous et la coller. Mais il doit pleuvoir ces jours-ci. Alors je verrai après.
mardi 15 mai 2012
Finitions acrotère
Un travail assez long, surtout que l'acrotère est réduite au minimum.
Sur le devant, il y aura 4,4cm et au plus bas, derrière, 14-16 cm. Ce qui fait une bonne pente de 4-5%.
Mais j'ai longtemps hésité : il y a les containtes vis à vis du PLU, de la demande préalable des travaux (que j'ai un peu baclé) et le non-choix de l'habillage du toit (végétalisable, gravillons, isolation ...).
Mettre une isolation de 3cm, me parait trop peu efficace par rapport au prix : 400 euros minimum chez leroymerlin. Après tout, ce n'est qu'une cabane.
Végétaliser : à voir, et j'ai pas étudié le problème. Je sais qu'il y a des substrats léger et fins.
Et puis j'ai déclaré un toit 1pente de 5%, accepté par la mairie, alors que le 1 pente est interdit dans le PLU ... Va comprendre ?
Mais le toit-terrasse, on peut.
Dans le cas 1 pente, il faut 3,5m au faitage et 3m à l'égout. Dans le cas du toit-terrasse, rien n'est précisé, et à la mairie on m'a dit alors que c'est 3,5m à l'acrotère ....
Là encore, il n'y a aucune logique.
Mais à l'époque du dépot de permis, j'avais omis la hauteur du soubassement : plot+madrier = 52cm au minimum, en limite de propriété ...
J'avais prévu une hauteur de 2,66. Si on ajoute les 52cm. Donc je dépasse la hauteur réglementaire de 3m à l'égout, avec la solution une pente.
Comme je ne veux pas de problème avec les voisins, que le toit plat me parait plus esthétique, qu'il me permet d'aller jusqu'à 3,5m .... J'ai opté pour une solution "moyenne" : acrotère à 3,20m.
Ainsi, je colle avec le plu, même si je dérive de la demande préalable.
Au final, j'ai du réhausser l'acrotère par du "bricolage" de dernière minute.
J'ai mis des tasseaux tout le long du bord extérieur, et intérieur (pour aussi recouvrir la tranche des contreventements osb, plutot friables et coupantes)
Au final, cela donne cela :
En sus, j'ai posé des angles pvc, collé avec du mastic-colle. Ca permet de cacher l'espace au bord pour la dilatation des OSB du plancher.
Sur le devant, il y aura 4,4cm et au plus bas, derrière, 14-16 cm. Ce qui fait une bonne pente de 4-5%.
Mais j'ai longtemps hésité : il y a les containtes vis à vis du PLU, de la demande préalable des travaux (que j'ai un peu baclé) et le non-choix de l'habillage du toit (végétalisable, gravillons, isolation ...).
Mettre une isolation de 3cm, me parait trop peu efficace par rapport au prix : 400 euros minimum chez leroymerlin. Après tout, ce n'est qu'une cabane.
Végétaliser : à voir, et j'ai pas étudié le problème. Je sais qu'il y a des substrats léger et fins.
Et puis j'ai déclaré un toit 1pente de 5%, accepté par la mairie, alors que le 1 pente est interdit dans le PLU ... Va comprendre ?
Mais le toit-terrasse, on peut.
Dans le cas 1 pente, il faut 3,5m au faitage et 3m à l'égout. Dans le cas du toit-terrasse, rien n'est précisé, et à la mairie on m'a dit alors que c'est 3,5m à l'acrotère ....
Là encore, il n'y a aucune logique.
Mais à l'époque du dépot de permis, j'avais omis la hauteur du soubassement : plot+madrier = 52cm au minimum, en limite de propriété ...
J'avais prévu une hauteur de 2,66. Si on ajoute les 52cm. Donc je dépasse la hauteur réglementaire de 3m à l'égout, avec la solution une pente.
Comme je ne veux pas de problème avec les voisins, que le toit plat me parait plus esthétique, qu'il me permet d'aller jusqu'à 3,5m .... J'ai opté pour une solution "moyenne" : acrotère à 3,20m.
Ainsi, je colle avec le plu, même si je dérive de la demande préalable.
Au final, j'ai du réhausser l'acrotère par du "bricolage" de dernière minute.
J'ai mis des tasseaux tout le long du bord extérieur, et intérieur (pour aussi recouvrir la tranche des contreventements osb, plutot friables et coupantes)
Au final, cela donne cela :
En sus, j'ai posé des angles pvc, collé avec du mastic-colle. Ca permet de cacher l'espace au bord pour la dilatation des OSB du plancher.
Mise en place du pare-pluie
Sur les planches OSB de 1cm, faisant office de contreventement, il faut mettre un pare-pluie : étanche à l'eau mais respirant.
Je l'ai déroulé en 2 bandes horizontales, tout le tour, en commençant par le bas. La deuxième bande haute venant se superposer à la première de 15cm minimum.
Une astuce pour le faire seul : mettre un tasseau dans le rouleau du pare-pluie, le bloquer par deux vis insérées dans le rouleau. Mettre une équerre ou longue vis à l'extrémité.
Ainsi le tasseau (3m de haut), vient se poser sur le rebord du toit et je peux déplacer le rouleau au fur et à mesure de mon avancement, et seul.
J'agraphe le parepluie en haut et en bas de chaque bande.
Je l'ai déroulé en 2 bandes horizontales, tout le tour, en commençant par le bas. La deuxième bande haute venant se superposer à la première de 15cm minimum.
Une astuce pour le faire seul : mettre un tasseau dans le rouleau du pare-pluie, le bloquer par deux vis insérées dans le rouleau. Mettre une équerre ou longue vis à l'extrémité.
Ainsi le tasseau (3m de haut), vient se poser sur le rebord du toit et je peux déplacer le rouleau au fur et à mesure de mon avancement, et seul.
J'agraphe le parepluie en haut et en bas de chaque bande.
mardi 8 mai 2012
Pose du plancher OSB sur le toit
Les solives posées, il faut maintenant poser le plancher. Epreuve difficile, seul !
Il n'y a rien de compliqué mais soulever des plaques de 2.5m/0.67 à 2.8m de hauteur, seul ...
Je me suis aidé de l'échafaudage comme première étape. Puis j'ai enfilé les planche entre les solives, de l'intérieur.
Je n'ai pas pu finir, trop tard. Demain il pleut, alors je bâche sommairement.
Avant la pose du plancher, j'avais un peu peur de la stabilité des panneaux avant et arrière. En effet, ils bougeaient. L'ossature n'étant qu'en 95mm, et en 2 panneaux sur 5,5m, cela plié un peu. AVec le plancher l'ensemble devient stable.
Il me reste les découpe à l'arrière, mais je dois réfléchir pour monter la cloison au dessus des solives. Au départ, je voulais mettre une sablière verticale, puis posé 3 chevrons ossatures. Mais, ils ont oublié de me livrer ces sablières, et de plus, je dois faire passer les gouttières (horizontales) du toit terreasse.
A suivre ....
Il n'y a rien de compliqué mais soulever des plaques de 2.5m/0.67 à 2.8m de hauteur, seul ...
Je me suis aidé de l'échafaudage comme première étape. Puis j'ai enfilé les planche entre les solives, de l'intérieur.
Je n'ai pas pu finir, trop tard. Demain il pleut, alors je bâche sommairement.
Avant la pose du plancher, j'avais un peu peur de la stabilité des panneaux avant et arrière. En effet, ils bougeaient. L'ossature n'étant qu'en 95mm, et en 2 panneaux sur 5,5m, cela plié un peu. AVec le plancher l'ensemble devient stable.
Il me reste les découpe à l'arrière, mais je dois réfléchir pour monter la cloison au dessus des solives. Au départ, je voulais mettre une sablière verticale, puis posé 3 chevrons ossatures. Mais, ils ont oublié de me livrer ces sablières, et de plus, je dois faire passer les gouttières (horizontales) du toit terreasse.
A suivre ....
Solivage
Je me suis attaqué au solivage : 75x175. Je voulais du 63x175 mais pas disponible chez Bordeaux Bois Service.
D'un coté le solivage est posé sur des sabots, eux-même fixés sur une muralière de 38x175. J'aurais bien aimé une muralière continue de 5.5m mais ça n'existe pas chez ce fournisseur.
Cette muralière est fixée par des tire-fond de 8x100mm.
Les sabots sont fixés, d'abord par 2 vis (placo) pour les maintenir, le temps d'enfiler le madrier, puis cloués par des clous 3,5mm annelés.
De l'autre coté les madriers reposent sur l'ossature (lisse doublée). J'ai découpé les extrêmités en léger biais pour arriver bien vertical dans les sabots. N'ayant pas le matériel adéquat, j'ai utilisé une scie circulaire, max 6,5cm et fini avec une scie égoïne à main.
J'ai pu poser seul les madriers.
D'un coté le solivage est posé sur des sabots, eux-même fixés sur une muralière de 38x175. J'aurais bien aimé une muralière continue de 5.5m mais ça n'existe pas chez ce fournisseur.
Cette muralière est fixée par des tire-fond de 8x100mm.
Les sabots sont fixés, d'abord par 2 vis (placo) pour les maintenir, le temps d'enfiler le madrier, puis cloués par des clous 3,5mm annelés.
De l'autre coté les madriers reposent sur l'ossature (lisse doublée). J'ai découpé les extrêmités en léger biais pour arriver bien vertical dans les sabots. N'ayant pas le matériel adéquat, j'ai utilisé une scie circulaire, max 6,5cm et fini avec une scie égoïne à main.
J'ai pu poser seul les madriers.
samedi 5 mai 2012
Pose du contreventement
Après avoir posé les cadres, sans trop de mal, je m'attaque au contreventement : plaques OSB de 250x125x1 cm, vissée sur l'ossature à l'aide de visse à placo 35mm.
mercredi 2 mai 2012
Montage ossature sur le plancher
Après des semaines de pluie, enfin quelques jours de soleil.
J'en profite pour monter les panneaux ossature.
Il faut être 2 minimums, c'est certain. C'est assez lourd, même avec des lambourdes en 45x90.
Pour le moment tout tient avec des serre-joints. Pour monter, j'ai mis des garde-fous, pour éviter que cela ne bascule chez les voisins.
Ensuite on a levé à bout de bras et fixé temporairement.
J'en profite pour monter les panneaux ossature.
Il faut être 2 minimums, c'est certain. C'est assez lourd, même avec des lambourdes en 45x90.
Pour le moment tout tient avec des serre-joints. Pour monter, j'ai mis des garde-fous, pour éviter que cela ne bascule chez les voisins.
Ensuite on a levé à bout de bras et fixé temporairement.
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